Antisémitisme et déportation des Juifs

Dans l’entre-deux-guerres, entre 2000 et 2500 Juifs français et étrangers vivent en Haute-Garonne, dont 1000 à 1500 à Toulouse, soit moins de 1% de la population totale. Cette population de confession juive est composée de nationalités, langues et pratiques religieuses diverses : elle ne connaît pas alors de véritable sentiment communautaire. À partir de 1940 et dans un contexte de propagande intense, la politique antisémite de Vichy provoque des réactions diverses chez les Français : face à l’exclusion et aux violences, on voit aussi apparaître des formes de solidarité et de résistance.
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