Étrangers, pourchassés, résistants

La Résistance haut-garonnaise est cosmopolite de par son histoire. L’immigration économique des années 1920, puis l’immigration politique de la décennie suivante, ont amené dans le département des milliers d’Italiens, de Polonais, d’Espagnols et de persécutés de toute l’Europe. Ils recherchent un point de chute stratégique proche de l’Espagne, et un refuge au pays des Droits de l’Homme. À la fin de la République puis sous le régime de Vichy, de plus en plus hostile aux étrangers, certains décident de résister pour se défendre et lutter pour cette terre d’accueil qu’ils espéraient trouver en France.

La Résistance étrangère


Ci-dessus, Tract imprimé par le Nationalkomitee Freies Deutschland ou Comité National pour une Allemagne libre.


Livret militaire au nom de Robert VELIOUNSKY pour la classe 1944.

Intégration d’un maquis – José Ramos (1923-2010), guérillero espagnol résistant en Haute-Garonne, 2010.

L’exode en Haute-Garonne

Arrivée des réfugiés à Toulouse – Jeanine Morisse Messerli (1921-2021), résistante Toulousaine appartenant au réseau allié Prunus Buckmaster déportée à Ravensbrück, 2010.

Récits de Retirada

Passage de la frontière et camps d’internement – José Ramos (1923-2010), guérillero espagnol résistant en Haute-Garonne, 2010.
Retirada – José Ramos (1923-2010), guérillero espagnol résistant en Haute-Garonne, 2010.
Hébergement d’un enfant de la Retirada – Raymonde Vié Lamouille (1925-2019), résistante toulousaine de 15 ans, 2010.
Retour en haut
Aller au contenu principal