Gagner la guerre, gagner la paix

La Libération de la France représente l’aboutissement de longs mois de préparatifs militaires et civils. La victoire de la Résistance s’est jouée sur deux plans. Gagner la guerre d’abord : Toulouse et ses alentours sont libérés par les résistants eux-mêmes, maquisards, étrangers et réseaux locaux qui prennent le contrôle de leurs territoires. Gagner la paix ensuite : l’esprit de résistance et ses valeurs doivent demeurer dans une France libérée et politiquement repensée. C’est sur ces fondements que la République doit être rétablie.

Libération de la Haute-Garonne


Magazine « Toulouse délivré » édité vers fin 1944, début 1945.

Exemples de messages codés échangés avec Londres.

Combats pour la libération de Toulouse – José Ramos (1923-2010), guérillero espagnol résistant en Haute-Garonne, 2010.
Libération de Toulouse – Raymonde Vié Lamouille (1925-2019), résistante toulousaine de 15 ans, 2010.

L’Épuration


Dès décembre 1943, certains résistants font pression et préparent l’épuration de la Libération. Ici, messieurs F. et M. qui occupent des postes de direction à la Poudrerie nationale de Toulouse, sont accusés de collaboration économique.

Déception face à l’épuration et aux violences d’après-guerre – Raymonde Vié Lamouille (1925-2019), résistante toulousaine de 15 ans, 2010.

Zoom – Les exactions de la Das Reich

Attaque de la division Das Reich à Marsoulas le 10 juin 1994, village martyr de la Haute-Garonne, 2021.
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