L’Institut Catholique de Toulouse

La Résistance haut-garonnaise est marquée par le rôle de nombreux intellectuels réfugiés dans le département et cachés au sein de l’Institut Catholique de Toulouse, dirigé par un humaniste, Bruno de Solages. Le philosophe Vladimir Jankélévitch, interdit d’exercer en raison du statut des Juifs, y a trouvé abri.


Aux côtés d’Ignace Meyerson, il continue à donner des cours, protégé par l’Institut. En 1943, avec le doyen de la faculté de géographie, Daniel Faucher et le catholique Etienne Borne, Jankélévitch publie un texte virulent, « Le mensonge raciste ».

Scan de la publication clandestine Le mensonge raciste, annotée de la main de Daniel Latapie, résistant et historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale dans le Midi toulousain.

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