Le siège de la Gestapo

Les services du SD « Sicherheitsdienst » résumés en Gestapo, la police de sûreté nazie, ont laissé une empreinte indélébile à Toulouse, dans le quartier du Busca et à Luchon, dans la villa Raphaël. Ces services nazis étaient le cœur de la répression contre les résistants, les Juifs et la population civile.


Ainsi, c’est depuis le n°2 rue Maignac, aujourd’hui renommée rue des Martyrs de la Libération, que furent organisées les opérations les plus terribles pour la Résistance, comme celle préparée en décembre 1943 contre l’état-major de la Résistance et son chef François Verdier. La même année, le jeune Lucien Béret est arrêté chez lui par les nazis, devant sa femme et ses enfants. Il est torturé à mort au siège de la Gestapo.

Dans son livre Églantine et Vert-de-gris, le résistant Henri Docquiert relate au sujet de l’occupation nazi de la région toulousaine à partir du 11 novembre 1942 « C’en était fini des risques mineurs, une arrestation, quelques semaines de prison. Maintenant, c’était à la mort que nous allions être confrontés, et à la pire de toutes, celle qui arrive comme une délivrance après que toutes les souffrances physiques aient été employées pour vous faire parler. »

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